Il bafouerait le droit du travail
Le Père Noël n’habite pas en Laponie, comme le veut la légende, mais au Kirghizistan. C’est en tout cas ce qu’affirme Anders Larsson, de la société en consultants en ingénierie suédoise Sweco, savants calculs à l’appui. Avec 48 habitants/km2, des domiciles séparés en moyenne de 20 m, il ne peut effectuer ses deux milliards et demi d’arrêts en 24 heures qu’en partant de cet Etat d’Asie centrale. Le Père Noël travaille donc sous le régime du droit du travail kirghize, où le salaire minimum équivaut à 5 e/mois, soit 0,50 e nets pour deux jours !
1Son langage friserait la grossièreté
Les elfes, les rennes, tout cela est fort mignon mais, selon une étude de sociologie de l’université de Berkeley (Etats-Unis) publiée en 2007, la fable du Père Noël n’a rien d’un conte féerique pour enfants, et serait au contraire pleine de sous-entendus crapuleux. La cause ? Santa Claus, le Père Noël outre-Atlantique, commence toutes ses phrases par « Ho, ho, ho ». « Ho » est le diminutif courant de whore, insulte signifiant « prostituée ». « De quoi insinuer un doute dans l’esprit des enfants », explique très sérieusement le Dr Huma-Humpur…